Danseurs citoyens sud

Présentation de l'association:

Danseurs Citoyens Sud ont émergé comme un mouvement des jeunes progressiste et ont été créés en tant qu'association indépendante à but non lucratif le 31 mai 2015.

À travers ses projets, l'association cherche à intégrer les jeunes dans la vie publique et à promouvoir une culture de dialogue entre eux.

Il vise également à renforcer leurs capacités artistiques dans le secteur des arts du spectacle (théâtre de rue, danse contemporaine, musique alternative, Slam des femmes).

DCS travaille également à réactiver la rue tunisienne en tant qu'espace ouvert d'expression politique, artistique et culturelle, dans les quartiers populaires et les zones marginalisées du sud de la Tunisie, devant les jeunes, et à les aider à développer et à renforcer leurs expériences et à leur donner la possibilité d'être des ambassadeurs de la paix, de participer aux affaires publiques et de prendre des décisions.

L'association a aussi une philosophie à adopter, qui est que l'art est un mécanisme dynamique pour traiter les problèmes sociaux. Nous avons donc un ensemble de principes et de questions sur lesquels nous défendons vigoureusement le plus important d'entre eux est la consécration des droits de l'homme et la citoyenneté active des jeunes dans les zones intérieures et marginalisées, la protection contre la violence et les discours haineux, la discrimination fondée sur l'orientation sexuelle, l'identité sexuelle, la religion et les croyances, la couleur ou la différence... C'est aussi la quête de l'égalité des sexes.

L'association s'efforce également de différencier les droits et les libertés dans la relation des droits économiques, sociaux et culturels.

Le plan stratégique de DCS pour la période à venir se concentre sur quatre programmes de base sous le titre DCS 22/25, à savoir:

Programme 1: Résidences artistiques et production participative.

Programme 2: Entreprenariat culturel, artistique et creatif.

Programme 3: Académie des droits de l’homme et des droits individuels.

Programme 4: Liberté d'expression et médias alternatifs.